« La mort fait partie du cours naturel de la vie et, tôt ou tard, nous devrons tous inévitablement l’affronter.
En tant que bouddhiste, j’envisage la mort comme un processus normal, une réalité que j’accepte, aussi longtemps que je demeure dans cette existence terrestre. Sachant que je ne peux y échapper, je ne vois aucune raison de m’inquiéter à son sujet.
La mort est, à mes yeux, plutôt un changement de vêtements vieux et usagés, qu’une véritable fin.
Cependant, la mort est imprévisible: nous ne savons ni quand ni comment elle surviendra. »
Tenzin Gyamtso
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ce n’est pas parce qu’elle est inéluctable qu’elle ne fait pas peur.. on passe même une grande partie de sa vie à l’appréhender, et rarement de manière zen
Puisque nous ne savons ni quand ,ni comment ..
Deux possibilités s’offrent à nous:
Faire comme si cela ne devait jamais arriver ….
Faire comme si chaque instant était le dernier .
Dans le premier cas nous vivons chaque instant vers un » meilleur » à venir ..
Dans le deuxième cas nous vivons chaque instant comme » le meilleur »
Et la » bonne heure » nous tient compagnie .
TRAVAUX PRATIQUES :
s’imprégner de ce fait:
lecontraire de la mort n’est pas la vie, c’est la naissance.
De fait, nous ne connaissons rien, ni de la mort, ni de la naissance, ni même de la Vie qui organise cette manifestation, naissance à l’existence physique (sans le souvenir) suivie d’une mort inéluctable et imprévisible… entre naissance et mort, ne se pose comme éventuelle question que le sentiment d’exister et de manifester le Vivre du mieux possible… la peur de l’échéance physique devrait nourrir la conscience avec la Joie de ressentir le Vivre…
Merci Lung Ta (pour l’inspiration sur Miroirs…)…
« Qui a commencé… »
On parle de « temps sans commencement ». Alors, ni poule ni œuf qui vaillent…comme qui dirait, ce n’est pas la question ! :o))
Savoir que je vais mourir me rassure.
J’espère que la réincarnation n’existe pas , aucune envie de refaire un tour de ce manège infernal.
J’aimerais qu’après le passage obligé donc autant l’intégrer dans la cahier des charges, j’aimerai qu’il y est quelque chose qu’aucune imagination n’ait pu créer.
Autre chose.